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Par balpe le 24 Février 2013 à 11:02
Sur ce blog, j'ai décidé de publier l'ensemble de mes articles encore disponibles sous forme numérique, quels qu'ils soient, sans les modifier ni les adapter. Ils sont à la disposition des rares personnes qui peuvent être intéressées.
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Par balpe le 9 Décembre 2012 à 09:19
Palancy est un de mes hétéronymes, créé pour donner un nom d'auteur à une littérature expérimentale, totalement ou presque totalement automatique utilisant soit la génération automatique soit la captation et le traitement automatique de données diverses depuis des romans de divers auteurs : Marcel Proust, Paul Arène, Alexandre Dumas, Alphonse de Chateaubriand, moi-même… jusqu'à des fragments pris ici ou là sur Internet.
Plusieurs blogs y sont conscarés :
Roman-roman ou Béta-roman II, dont on peut retrouver une autre version sous le titre de Béta-roman I sur le blog de Marc Hodges (autre hétéronyme).
Proust memories sous diverses formes : sur le blog de Marc Hodges ou sur un blog dédié.
La tentative de Palancy consiste à voir comment peut se créer un sens fictionnel sans réelle intervention de ce qu'il est convenu d'appeler "un auteur". Elle s'efforce aussi, à partir des mêmes outils d'automatisation de réaliser une littérature trans-genres, voir, par exemple comment le roman peut-être aussi de la poésie ou du théâtre et, dans ce cas par exemple, proposer des solutions de mise en scène.
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Par balpe le 4 Décembre 2012 à 08:34
La Toile est désormais en vente en édition numérique chez Amazon, IBookstore, Immatériel, Booken.
"Chacun vit, travaille, communique, s'instruit à travers le réseau... Chacun ? Non, car le système engendre aussi ses exclusions, et rejette dans la marginalité les non-intégrés, ceux qui ne peuvent pas ou ne veulent pas être « citoyens du web ».
Un « web artist » ouzbèque, Khamid Khan Kharamidov, est retrouvé assassiné dans une chambre d'hôtel de Montréal. Pour la police, ce n'est d'abord qu'une affaire de routine. Pour Blaise Carver, universitaire spécialisé en sciences de la communication et historien du réseau, enquêter sur la mort de Kharamidov et jouer les détectives amateurs n'est d'abord qu'un pari amical.
Mais bientôt, tous réalisent que la mort du web artist n'est que le sommet d’un iceberg, et que derrière ce crime s'étend une infinité de ramifications qui, du Canada à l'Angleterre, de la Sibérie à l'Australie, de Paris à Sion, met en péril l'équilibre du monde. Tandis que, devant sa console, Blaise Carver commence à entrevoir l'effrayante vérité, un compte à rebours est déjà enclenché..."Ce roman a été récompensé du Grand Prix SGDL (Société des Gens De Lettre) en 1999.
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Par balpe le 3 Octobre 2012 à 14:21
Plusieurs articles sur Internet parle de mon travail et sont facilement accessibles:
Olats (Leonardo on line)
La littérature hypertextuelle, analyse et typologie par Aurélie Cauvin
Génération automatique de textes
La Disparition du Général Proust
Pour une littérature informatique
et bien d'autres à trouver à partir des moteurs de recherche.
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Par balpe le 6 Septembre 2012 à 11:59
Parce que :
- ça
- lui
- eux
- l’art
- ma vie
- le livre
- le désir
- tout ça
- le plaisir
- les livres
- parce que
- c’est ainsi
- Harlequin
- il y a la vie
- je n’écris plus
- c’est comme ça
- Marcel Duchamp
- je suis paresseux
- je suis comme ça
- j’aime finir les plats
- j’aime programmer
- je souhaite le potlach
- j’aime bien me répéter
- je n’ai pas de mémoire
- le monde n’est pas fixe
- je n’ai pas peur du vide
- je ne sais pas qui je suis
- je n’écris plus beaucoup
- l’inspiration est un travail
- l’imaginaire est calculable
- la beauté est un problème
- je ne lis pas tous les livres
- l’exégèse tue la littérature
- des textes je préfère le flux
- j’aime tout ce qui est relatif
- le monde change sans cesse
- je n’ai plus aucune certitude
- ça pose quelques problèmes
- j’aime l’en-soi des processus
- il n’y a pas d’absolu littéraire
- même si c’est vrai, c’est faux
- notre époque est spectaculaire
- Pierre Ménard de J.L. Borges
- la littérature met en jeu du jeu
- le livre est en soi un problème
- je ne sais pas ce que je produis
- j’écris pour prolonger le temps
- la beauté n’est pas le problème
- les formes ne sont jamais seules
- tout aurait pu se faire autrement
- l’ordinateur est un méta-médium
- je crois en la beauté des concepts
- toute création est communication
- la variation est l’essentiel du texte
- je crois en l’efficacité des concepts
- cette liste sera toujours incomplète
- je vis dans des contextes différents
- cette liste ne sera jamais exhaustive
- la génétique textuelle me fait vieillir
- tout livre est aujourd’hui un format
- j’ai besoin de l’épaisseur du monde
- j’ai toujours aimé écrire sur les murs
- je hais les gloses et les commentaires
- on ne sait jamais avec qui on couche
- il n’y a pas de vérité révélée du texte
- la littérature est une technique du réel
- je n’ai plus les naïvetés de ma jeunesse
- l’expression des sentiments me fatigue
- l’informatique est un langage universel
- je ne veux pas savoir ce qu’est un livre
- il n’y a plus de Grands Récits possibles
- il y a beaucoup de murs dans nos villes
- j’ai déjà souvent répondu aux pourquoi
- la programmation est un des beaux-arts
- j’aime jouer avec des objets composites
- je ne lis pas jusqu’au bout tous les livres
- je ne viendrai jamais à bout de cette liste
- l’informatique est un nouvel humanisme
- la plupart des livres ne sont que des livres
- le siècle à venir sera virtuel ou ne sera pas
- je crois en la force motrice de l’imaginaire
- je recherche une littérature à n-dimensions
- j’aime travailler sur le même et le différent
- je considère mes lecteurs comme des adultes
- le pourquoi m’importe plus que le comment
- le livre est devenu un instrument de pouvoir
- je ne sais pas où je vais mais je suis en route
- tout texte se crée dans la relativité des textes
- je préfère la consommation à la conservation
- la générativité est une exhaustivité reposante
- je ne sais pas pourquoi ce serait un problème
- la langue n’existe que par ceux qui la parlent
- quand le moment sera venu je dirai pourquoi
- la plupart de mes écrits ne sont pas des livres
- je rêve d’inscrire mes poèmes dans la lumière
- l’absolu de l’imaginaire est dans les processus
- je recherche une littérature non démonstrative
- je préfère privilégier la création sur la mémoire
- le livre qui n’a que cinq cent ans est trop jeune
100. je sais que vous n’irez pas au bout de cette liste
101. je suis venu trop tard dans un monde trop vieux
102. je ne connais pas de théorie sémantique correcte
103. je veux débarrasser la littérature de la subjectivité
104. nous sommes entre le 20 ème et le 21 ème siècle
105. je ne me prends pas pour un auteur de droit divin
106. le monde ne tient que par notre invention du monde
107. ce qui vaut la peine d'être fait vaut la peine d'être fait
108. « Les preuves fatiguent la vérité. » (Georges Braque)
109. le livre avec ses cinq cent ans a atteint sa limite d’âge
110. je rêve de faire de l’écriture un système d’interactions
111. l’état d’arrêt d’un texte n’est qu’un moment du texte
112. il existe aujourd’hui des machines à produire des livres
113. il n’y a pas de réponse simple à une question complexe
114. j’aime l’idée de faire de l’univers un support de lectures
115. je ne relis que très rarement les livres que j’ai lu une fois
116. je n’ai pas écrit la plupart de mes écrits qui sont des livres
117. je suis fasciné par la puissance absolu de l’opposition 0 et 1
118. j’aime travailler les oppositions entre le fixe et le dynamique
119. toute proposition littéraire est une proposition expérimentale
120. je souhaite remplir d’écrits toutes les dimensions de l’univers
121. il n’y a aucune raison aucune raison que cette liste s’arrête là
122. je me sens toujours enfermé dans ce que l’on appelle l’écriture
123. ce qui m’intéresse c’est la mémoire des processus de la création
124. toute écriture de livre doit se soumettre aux carcans de l’édition
125. dans chaque langue les mêmes mots disent infiniment de choses
126. j’aime par dessus tout faire du vélo au soleil à l’ombre des forêts
127. je déteste tout ce qui se présente comme ne devant jamais bouger
128. la littérature programmée a toujours affaire avec la métalittérature
129. Lautréamont, Raymond Roussel, Gertrude Stein et quelques autres
130. « Le langage est un ensemble statistique. » (Paul Valéry, Cahiers I)
131. les techniques numériques permettent de sortir la littérature du livre
132. je ne crois pas en dieu quels que soient les avatars dont on l’affuble
133. j’aime transformer les murs en des livres qui ne sont plus des livres
134. « Les livres ne sont jamais achevés. » (Paul Auster, Le carnet rouge)
135. je ne mesure qu’un mètre soixante huit (soixante neuf les bons jours)
136. la littérature est largement indépendante du médium spécifique qu’est le livre
137. les mots ne parlent du monde que dans la mesure où le monde nous parle
138. j’ai horreur du roman rouleau, du livre qui ne peut se lire que du début à la fin
139. écrire, c’est essayer de maîtriser le temps, son temps propre et celui des autres
140. je suis né le 3 octobre 1942 et non pas le 4, ce qui est essentiel dans mon œuvre
141. je cherche une distance entre l’écriture et la subjectivité : mon Je est un autre…
142. les quelques livres que j’ai écrits ne plaisent pas aux éditeurs qui me plaisent
143. je suis partisan du « jeu d’un vol ou d’une voltige indéfinie du sens » Derrida
144. je considère que Kant se trompe lorsqu’il affirme que la beauté est sans concepts
145. le plus difficile est de trouver la bonne manière de répondre à cette question
146. «Le récit — plus encore que le sexe — dit sans arrêt "encore !"» (Pascal Quignard)
147. « J'aime mieux une pensée fausse qu'une routine vraie. » (Alain, Propos d'un normand)
148. j’ai envie de tracer un sentier gratuit à l’écart des autoroutes payantes et trop fréquentées
149. ceux de mes écrits qui semblent être des livres sont souvent tout autre chose que des livres
150. l'ordinateur permet une anti-culture hiérarchique, quelque chose comme une « post-culture »
151. je ne recherche pas l’éternité (position métaphysique) mais l’infini (position mathématique)
152. “Tout ce que je fais et pense n’est que specimen de mon possible” (Valéry, Monsieur Teste)
153. « Il est possible pour un récit de continuer à s'écrire sans auteur. » (Paul Auster, Le carnet rouge)
154. « L'imaginaire est ce qui tend à devenir réel. » (André Breton, Le revolver à cheveux blancs)
155. programmer de la littérature consiste à travailler au niveau de l’imagination de l’imaginaire
156. « Ce qui est maintenant prouvé ne fut autrefois qu'imaginé. » (Blake William, Proverbes de l'enfer)
157. « La mission actuelle de l’art est d’introduire le chaos dans l’ordre » (T.W. Adorno, Minima Moralia)
158. « Les livres qui passent d'une époque à l'autre sont des fruits morts. » (Jean-Paul Sartre, l'homme ligoté)
159. « Que faire ? C'est avec cette question que j'ai commencé à ne pas dormir. » (Julio Cortazar, Marelle)
160. « Les paresseux ont toujours envie de faire quelque chose. » (Vauvenargues, Maximes et réflexions)
161. « Il faut apprendre à haïr la mort sous toutes ses formes. » (Gérald Neveu, Comme les loups vont au désir)
162. écrire relève toujours d’une conduite cognitive que j’oserai désigner comme « programmation expérimentale »
163. « Toutes choses furent faites par Hasard et rien de ce qui fut fait ne le fut sans lui. » (Luke Rhinehart, L'Homme-dé)
164. « N'est-ce pas ce qu'on peut faire de mieux avec l'écriture que dérouter ? » (Claude Ollier, Cité de mémoire)
165. « On ne peut pas transporter partout avec soi le cadavre de son père » (Guillaume Apollinaire, les peintres cubistes)
166. « La technologie évolue, le langage change, la voix mue, le destin nous incombe. » (Jean Baudrillard, Cool memories)
167. « Les livres sont ennuyeux à lire — pas de libre circulation — le chemin est tracé, unique. » (Henri Michaux, Passages)
168. S'intéresser aux concepts, croire au pouvoir des modèles, s'investir dans ce qui s’écrit — voilà qui submerge tout le reste
169. les mots du texte informatique sont irrécusables qui n'ont pas à fournir d'autres preuves que celles qu'ils portent en eux-mêmes
170. « L'art suprême et l'être suprême ont ceci de commun qu'ils dépendent entièrement de nous. » (E.M. Cioran, Aveux et anathèmes)
171. j’ai fait « écrire » mes textes par un ordinateur parce que l’idée m’en est venue, je pense que c’est une raison suffisante pour le faire
172. dés que l'écriture du monde cesse, le réel réaffirme sa présence ; dés que la subjectivitisation s'efface, l'objectivisation prend le dessus
173. la littérature informatique, telle que je la conçois, n'a rien à voir avec une littérature d'ingénieur elle se veut, avant tout, de la littérature
174. le recours à la technologie introduit une rupture volontaire, une mise à distance, une mise en évidence de la féconde opacité des mots
175. « Chaque fois que l'homme maîtrise il déclenche mille phénomènes immaîtrisables. » (Joseph Simas, Cet autre double en personne)
176. l’informatique permet de repenser totalement les relations du texte et du contexte, et ce jusque dans leurs conséquences les plus extrêmes
177. « Une vie se compose d'éléments multiples. Mais le nombre des compositions possibles est infini. » (Marc Saporta, Composition n°1)
178. « La valeur d'une pensée se mesure aux distances qu'elle prend avec la continuité de ce qui est déjà connu » (T.W. Adorno, Minima Moralia)
179. la littérature informatique a pour ambition de prolonger la littérarité dans les zones où les dispositifs antérieurs ne permettaient pas d'imaginer aller
180. l’ensemble des connaissances engrammées dans les possibles de texte est plus important que les textes produits et que l’être même de leurs auteurs
181. j’adore la possibilité de détourner un outil aussi pragamatique et industriel que l’ordinateur pour le mettre au service du non-indispensable
182. « Après cela qu'est-ce qui change et qu'est-ce qui change après cela et après cela et qu'est-ce qui change… » (Gertrude Stein, Lectures en Amérique)
183. « Les choses changent tellement ici. Chaque fois que je regarde de nouveau, il y a quelque chose de différent. » (Lewis Carroll, Sylvie et Bruno)
184. « J'aurais pu commencer par le chapitre I mais tout le monde même moi en aurait eu assez. » (Gertrude Stein. L'histoire géographique de l'Amérique)
185. « C'est à travers ce qu'il fait que l'homme vit et revit son empoignade radicale avec ce qui le défait, et qui est la mort. » (Daniel Sibony, Entre dire et faire)
186. « Puisqu'il faut raconter, l'idéal serait que la machine à écrire (j'écris à la machine) puisse continuer à taper toute seule… » (Julio Cortazar, Les fils de la Vierge)
187. « Il créait des romans que non seulement l'on pouvait lire, entendre et voir, mais dans lesquels on entrait comme en un jardin. » (Ernst Jünger, Abeilles de verre)
188. nous sommes à l’ère des prothèses où la machine devient un prolongement naturel de l'homme pour un corps non immédiatement sensoriel mais pensé
189. “La technique offre une voie de choir hors du monde, de penser un autre monde, de réaliser un simulacre d’autre monde.” (Marc Guillaume, Figures de l’altérité)
190. « Subitement eh bien peut-être pas subitement mais peut-être oui je sais où je vais et je n'aime pas ça comme ça. » (Gertrude Stein, L'histoire géographique de l'Amérique)
191. « On prend les romans parus dans la Revue des Deux Mondes au 19 ème siècle, on rajoute des avions et des téléphones, et le tour est joué. » (Philippe Sollers, Passion fixe)
192. la littérature n'existe que parce que, tournant, bougeant, elle se maintient, perdure dans des mouvements complémentaires, seuls capables de lui permettre de surmonter le chaos
193. La littérature n'a pour moi d'intérêt que comme mise en scène, exemplarisation, de l'inter-générativité du sens, plus exactement des sens, avec toutes les ouvertures signifiantes de cette expression
194. « Si les années m'ont appris une chose, c'est ceci : du moment qu'on a un crayon dans sa poche, il y a de fortes chances pour qu'un jour ou l'autre on soit tenté de s'en servir. » (Paul Auster, Pourquoi écrire ?)
195. « L'histoire commence et s'arrête, avance et puis se perd, et, entre chaque mot, quels silences, quelles paroles s'échappent et s'évanouissent pour ne jamais reparaître. » (Paul Auster. Le voyage d'Anna Blume)
196. Du point de vue d'un romancier, tout pouvait être modifié et amélioré, révisé, renouvelé à l'infini — chaque plan ne représentait qu'une face d'un grand volume à révéler. » (Richard Ford, Une situation difficile)
197. “Je sens infiniment le pouvoir, le vouloir, parce que je sens infiniment l’informe et le hasard qui les baigne, les tolère, et tend à reprendre sa fatale liberté, sa figure indifférente, son niveau d’égale chance.” (Valéry. Monsieur Teste)
198. Il n'y a plus de « culture » ayant valeur immanente nécessairement liées aux sociétés hiérarchisées et qui n'ont jamais empêché la barbarie, mais un ensemble de "cultures" à égalité (Georges Steiner. Dans le château de Barbe-Bleue)
199. Tant d’histoires tronquées se déroulent à chaque heure sur cette sombre terre qu’elles ont presque la supériorité sur les autres dont les personnages « posent des fondations pour l’éternité, d’une durée plus brève que la destruction et la ruine. » (Thomas Hardy, A la lumière des étoiles Garnier-Flammarion, 1987)
200. "Je rêve d'un livre qui serait assez puissant pour contenir tous les éléments de son être : mais ce n'est pas le genre de livre auquel on est habitué de nos jours. Par exemple, sur la première page : un résumé de l'action en quelques lignes. On pourrait ainsi se passer des articulations du récit. Ce qui suivrait serait le drame à l'état pur, libéré des entraves de la forme. Je voudrais faire un livre qui serait libre de rêver." (Lawrence Durrell, Justine)
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